Chief Happiness Officer
Connaissez-vous le “Chief Happiness Officer” ?
Il est garant du bien-être au travail. Ce poste existe déjà aux Etats-Unis et arrive progressivement en France. Je ne sais pas en détail comment il est mis en pratique en entreprise, mais si j’étais garante du bonheur au travail, voici ce que je proposerai :
// Volet communication //
** une charte des règles de vie (toujours à l’écoute, toujours bienveillant, etc.) sur la base des 4 accords toltèques par exemple
** une formation de tous aux compétences relationnelles (cf. communication non violente, analyse transactionnelle, etc)
// Volet individuel //
** un focus sur l’autonomie et la responsabilisation de chacun
** un focus “talent” pour reconnaître les talents innés de chacun et leur donner la place de s’exprimer (cf. “découvrez vos points forts” de Marcus Buckingham)
** de la formation pour permettre à chacun de progresser et se réaliser
** une ouverture au développement personnel pour favoriser l’introspection
// Volet organisation du collectif //
** la réorganisation de l’entreprise pour privilégier la coopération plutôt que les statuts hiérarchiques et la compétition
** une réduction des inégalités de toutes sortes tout en appréciant les spécificités de chacun (équité plutôt qu’égalité)
** une souplesse (adaptation) de l’organisation aux modes de vie individuels (type de bureaux, horaires, télétravail, etc)
** des temps d’écoute et d’échange pour réajuster les fonctionnements quotidiens (avec médiateur si nécessaire)
** des moments de fun pour partager différemment et créer des liens forts
** des espaces plus ergonomiques, et aménagés pour favoriser l’épanouissement personnel et collectif
Il arrive, dans les relations humaines, d’enfermer le dialogue dans une impasse, dans une situation où les individus s’empêtrent dans des problèmes mutuels. “Plus ça change, plus c’est la même chose”. Les tentatives de provoquer un changement ne sont alors qu’un jeu sans fin impossible. Dans ce livre, les auteurs proposent une technique qui s’attaque au quoi (et non au pourquoi) pour permettre le changement dans notre rapport à autrui.