Douance


3 qualités pour résoudre un problème

Problem Solver

“On ne peut pas résoudre un problème avec le même niveau de pensée que celle qui l’a crée.” Albert Einstein.

1- Pensée analytique : – décomposer les problèmes complexes, comprendre les relations entre les parties – examiner de manière critique les hypothèses présentées (véracité des faits et validité des arguments) – raisonner de façon logique pour la résolution

2- Empathie / Communication : – comprendre la perspective de l’autre – gagner la confiance et la coopération – stimuler la créativité en prenant en compte toutes les idées des parties impliquées

3- Créativité : – briser les schémas de pensée traditionnels – envisager de nouvelles opportunités – oser faire différemment et généreusement


Je rêve…

Je rêve d’une société,
florissante, accomplie,
qui relève les défis
avec agilité.

Je rêve d’un nouveau clan,
solidaire, éclairé,
qui sache harmoniser
brillamment ses talents.

Je rêve d’êtres, de gens,
épanouis, authentiques,
qui, libres, communiquent
leur potentiel pleinement.

Je rêve de concret,
d’émotions, de génie,
de libérer la vie
dans notre société.

[Cécile Clavier]


Politiquement Correct ?!

33 ans, il n’est jamais trop tard pour apprendre. Je viens de saisir l’ampleur du politiquement correct et du “respect”. Je croyais qu’il s’agissait seulement de diminuer l’impact négatif de certains termes et de rester poli en toutes circonstances. Je comprends seulement maintenant que ça dépasse de loin ces considérations. En fait, ce qui est attendu, c’est d’aller toujours dans le sens de l’interlocuteur jusqu’à endosser ses erreurs pour qu’il puisse “garder la face”, s’excuser même sans être en tord, et sourire quand on est en colère. Ensuite, bien sûr, on peut évacuer le trop plein dans son dos… Ça permet à l’autre de se sentir important et de conserver les relations intactes. Bref, à ce compte là, j’espère ne jamais être respectée !

Moi qui croyais que le respect c’était de considérer l’autre suffisamment intelligent pour discuter d’égal à égal… Apparemment la plupart des gens préfère être pris pour des cons plutôt que d’être remis en question. Vive l’irrespect de la vérité !

Dans l’absolu, ce n’est pas très compliqué d’appliquer ces règles, mais ça me paraît tellement aberrant…

De plus, je suis surprise des références au “monde des adultes” quand j’aborde la discussion. Ne pas être en capacité d’entendre un fait ou une opinion car elle ne nous plaît pas, c’est adulte ? Devoir maquiller la vérité pour ménager des ego, c’est adulte ? (suite…)


[Extrait] Vous voulez rire, Monsieur Feynman ! de Richard P.Feynman
De l’imbécillité honnête

Dans son livre « Vous voulez rire, Monsieur Feynman !« , Richard P.Feynman, Prix Nobel de physique, raconte un ensemble d’anecdotes amusantes qui ont ponctué sa vie.

“[J’ai été] invité à participer à un colloque organisé à New York et qui devait traiter de “l’éthique de l’égalité”. (…) Si les discussions lors de ce congrès ont tourné en haut de boudin, c’est pour une raison bien simple : le sujet du thème “Ethique et égalité dans le domaine de l’éducation” n’avait pas été clairement défini au départ ; personne ne savait exactement sur quoi nous étions censés discuter. (…)

A ce congrès, il y avait un tas d’imbéciles – de ce genre d’imbéciles qui se prennent au sérieux, et qui me font grimper au plafond. On peut toujours parler à un imbécile ordinaire, l’aider. Mais les imbéciles qui se prennent au sérieux, qui masquent leur imbécillité par un discours suffisant et prétentieux, ça je ne supporte pas. Un imbécile ordinaire, ce n’est pas un escroc, c’est un homme honnête. Mais un imbécile doublé d’un escroc, ça s’est terrible. Et à ce congrès, c’est ça qu’il y avait en majorité : des imbéciles infatués d’eux-mêmes. C’est ce qui m’a rendu malade. Des types comme ça, moins j’en vois et mieux je me porte. Je ne suis pas prêt de participer de sitôt à un congrès interdisciplinaire.”

(suite…)


Idées reçues sur les surdoués

Nicolas Gauvrit, chercheur en psychologie et auteur du livre “Les Surdoués ordinaires”, a été invité à l’émission “La Tronche en Biais” pour déblayer les idées reçues et éclaircir le flou au sujet des surdoués, des enfants haut potentiel, des autistes, de leurs capacités et de leurs fragilités. Dans son livre, il vulgarise les dernières recherches scientifiques sur le sujet.


La confiance est inutile en soi

confiance en soi

Quand on aborde le thème de la confiance en soi, on a tous en tête ces phrases pleine de bon sens, mais très peu aidantes : “Tu manques de confiance en toi, pourtant il n’y a pas de raison ! Tu as plein de qualités !” “Aie confiance en toi, tu vas y arriver” “Tu te préoccupes trop du regard des autres. » “Tout le monde ne peut pas t’aimer ! ». Pour regagner de l’assurance, je vous propose d’étudier la question en détails. Au travers de ces 3 points, vous allez découvrir que le sujet n’est pas tant la confiance en soi que l’affirmation de ses choix. Car la confiance ne se décrète pas !

  1. La confiance est un acte de foi.
  2. Ôtez-moi d’un doute. L’assurance est un choix.
  3. L’affirmation… de soi.
    • Être soi. L’estime de soi.
    • Définir ses objectifs et ses limites pour agir.
    • S’affirmer face aux autres, malgré nos peurs et nos drivers.

La confiance est un acte de foi.

La confiance, d’après la définition même du terme, est un “sentiment de sécurité (de foi) de quelqu’un qui se fie à quelque chose ». Dès lors, deux perspectives se profilent pour améliorer sa confiance en soi :

  1. Se rattacher à sa foi, qu’elle soit spirituelle : “Tout arrive toujours pour une bonne raison », religieuse “Les voies du Seigneur sont impénétrables », psychologique “Je suis guidé par mon inconscient, qui me place face aux problèmes que j’ai à résoudre”, ou personnelle “Quoi qu’il arrive, je trouverai toujours un moyen”et oser ! En étant persuadé que l’ont vit ce que l’on a à vivre, il n’est pas nécessaire d’être sûr de soi pour avancer. Il suffit d’identifier nos envies (la voie à suivre), de sécuriser nos peurs* (les obstacles), puis d’agir. (*il s’agit de clarifier le point précis qui nous inquiète et trouver les ressources pour encadrer la situation).
    Fin du problème.
  2. Aborder le sujet différemment. Oui, parce que ça paraît un peu facile comme ça… Alors pour ceux qui ont le stress chevillé au corps, je vous propose de creuser le sujet ci-après. (suite…)