[Extrait] La semaine de 4 heures, T.Ferriss
Etes vous en pleine déprime ou en pleine euphorie créatrice ?
Extrait de “La semaine de 4 heures” de Tim Ferriss.
- Ne jamais accepter de faveurs importantes ou coûteuses de la part d’étrangers.
- Une des causes les plus universelles de doute et de dépression : essayer d’impressionner des personnes qu’on n’aime pas. Ce qui compte ce sont les personnes qui comprennent, pas celles qui ne comprennent pas.
- Vous n’êtes jamais aussi mauvais ou bon qu’on le dit.
- L’adversité ne forge pas le caractère, elle le révèle. Quant à l‘argent, il ne vous change pas, il révèle qui vous êtes vraiment quand vous n’avez plus besoin d’être gentil.
- On passe 50 fois plus de temps à empêcher une perte hypothétique qu’à la gagner. Goûter régulièrement à la pauvreté : restreignez vos dépenses pendant une semaine ou deux et donnez au moins 20% de vos vêtements presque neufs. De la sorte, vous pourrez voir grand et prendre des “risques” sans peur. (Sénèque)
- Offrez-vous au moins un dîner / moment de détente de 2 ou 3 heures par semaine avec celles et ceux qui vous mettent le cœur en joie.
- Mangez un petit déjeuner hyper protéiné dans les 30 minutes qui suivent votre réveil, puis allez marcher 10 à 20 minutes en faisant sauter une balle de hand ou de tennis.
- Il vaut mieux s’en tenir à d’anciennes résolutions qu’en faire de nouvelles.
- Alors êtes vous en pleine déprime ou en pleine euphorie créatrice ?
[Source : La semaine de 4 heures, Tim Ferriss.]
Il arrive, dans les relations humaines, d’enfermer le dialogue dans une impasse, dans une situation où les individus s’empêtrent dans des problèmes mutuels. “Plus ça change, plus c’est la même chose”. Les tentatives de provoquer un changement ne sont alors qu’un jeu sans fin impossible. Dans ce livre, les auteurs proposent une technique qui s’attaque au quoi (et non au pourquoi) pour permettre le changement dans notre rapport à autrui.