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[Extrait] Brida, P.Coelho (1)
La volonté d’aller plus loin

Extrait de “Brida” de Paulo Coelho.

“Imaginons que ce bouchon est un électron, une des petites particules qui composent l’atome. (…) Si j’avais ici avec moi certains appareils très compliqués qui me permettent de donner un “tir d’électron” et si je tirais en direction de cette feuille, il passerait par les deux trous en même temps, le savais-tu ? Seulement, il passerait par les deux trous sans se diviser. (…) Tu ne me crois pas, mais c’est vrai. Tous les scientifiques le savent, même s’ils ne parviennent pas à l’expliquer.

Et que font les scientifique devant les mystères de la science ? Ils entrent dans la Nuit Obscure. Nous savons que le mystère ne nous quittera jamais, alors nous apprenons à l’accepter et à vivre avec lui. Je crois que ce phénomène est présent dans de nombreuses situations de la vie. Un mère qui éduque un enfant doit avoir la sensation de plonger dans la Nuit Obscure. Ou bien un immigrant qui s’en va loin de sa patrie à la recherche de travail et d’argent. Tous sont convaincus que leurs efforts seront récompensé, et qu’ils comprendront un jour ce qui s’est passé sur le chemin et qui, sur le moment, paraissait tellement effrayant.

Ce ne sont pas les explications qui nous font avancer ;
c’est notre volonté d’aller plus loin.”

[Brida, Paulo Coelho]

Le résumé du livre ici :  (suite…)


[Extrait] Alors voilà, B.Beaulieu (2)
Greffe paranormale

Dans « Alors voilà, les 1001 vies des Urgences », Baptiste Beaulieu peint avec légèreté et humour les consultations qui s’enchaînent, les incroyables rencontres avec les patients et la vie réelle, difficile ou amusante, au sein de l’hôpital. Par ses histoires d’une grande sensibilité, à la fois touchantes et drôles, il restitue tout le petit théâtre de la comédie humaine. Voici un extrait relatant une anecdote intrigante :

“Melle Licorne, 19 ans, transplantée depuis deux semaines.. Son nouveau rein fonctionne, mais elle fait des cauchemars : “Toujours le même, il se répète chaque nuit depuis l’opération.” Le chef la rassure : “Les antalgiques provoquent parfois des troubles du sommeil.” Elle ne l’écoute pas :”Je suis dans un centre commercial et un train énorme me fonce dessus !”

Poussin regarde le chirurgien qui regarde Melle Licorne qui regarde son père qui regarde l’infirmière qui regarde Poussin. Personne ne dégaine : un vrai braquage à la mexicaine. Finalement, tour de passe-passe du chef qui sort un lapin de son chapeau : “On va baisser la dose de morphine.” Basta ! Ils quittent la chambre.

Poussin, tel un petit garçon croyant à la magie : “C’est très étrange : parmi tous les rêves possibles, elle fait celui-là ! Le don est anonyme, personne ne sait rien sur le donneur, hormis le chirurgien et nous.” Le chef sort un nouveau lapin du chapeau : “Je ne suis ni statisticien, ni mathématicien.” Pas magicien, non plus.

Le rein tout neuf de Melle Licorne provient d’un suicidé de 28 ans. Il s’est jeté sur des rails.

Dans son lit, la jeune fille regarde par la fenêtre : avec son rein tout neuf, elle ne passera plus trois fois quatre heures par semaine en dialyse.

[« Alors voilà, les 1001 vies des Urgences », Baptiste Beaulieu]


[Extrait] Alors voilà, B.Beaulieu (1)
Des choses simples compliquées et inversément

Dans « Alors voilà, les 1001 vies des Urgences », Baptiste Beaulieu peint avec légèreté et humour les consultations qui s’enchaînent, les incroyables rencontres avec les patients et la vie réelle, difficile ou amusante, au sein de l’hôpital. Par ses histoires d’une grande sensibilité, à la fois touchantes et drôles, il restitue tout le petit théâtre de la comédie humaine. 

Dans la vie… “Il suffit de regarder les choses simples derrière les choses compliquées et de s’émerveiller des choses compliquées derrière les choses simples.”

[“Alors voilà, les 1001 vies des Urgences“, Baptiste Beaulieu]


Vous êtes parfait…

…mais un peu encombré : de conditionnement, de souffrance et d’émotions négatives.

J’ai acquis la conviction qu’on est tous unique et parfait, qu’on a un talent (une qualité intrinsèque) particulier et une manière unique de l’exprimer, et que c’est en étant conscient qu’on le met au service du monde qu’on est le plus heureux. Un indice : il se manifeste dans les rêves qu’on a pour notre vie…

Aussi, je vous invite à partir en quête pour le découvrir et le reconnaître ! Un bon moyen est le questionnement et l’introspection. Les thérapies ne s’adressent pas qu’à ceux qui sont en difficulté : elles sont un bon moyen de déblayer votre trésor !

Quand vous aurez renoncé aux conditionnements pour choisir vos propres croyances, quand vous saurez reconnaître vos droits et les faire respecter, quand vous aurez traversé vos peines et vos peurs, quand vous saurez en quoi vous êtes unique et que vous l’aurez accepté, je peux vous assurer que vous sentirez libre, égal à chacun et puissant ! Vous serez en mesure de donner le meilleur pour le monde et d’en recevoir le plus beau, avec bienveillance et sérénité.

Il n’y aura plus de compétition car nous sommes tous différents. La compétition tient sur la comparaison : qui aurait l’idée d’évaluer avec les mêmes critères un aigle, un dauphin et un éléphant ?

La paix s’acquiert d’abord en soi, pour qu’elle rejaillisse un jour sur le monde.

Une légende hindoue raconte qu’après avoir créé la race humaine, les Dieux réfléchirent au lieu où ils pourraient cacher les réponses à la vie, car il fallait mériter ce trésor.

  • Mettons ces réponses au sommet d’une montagne, proposa l’un d’eux.
  • Non, trop facile. Les hommes sauront atteindre les sommets les plus hauts.
  • Au centre de la terre, alors !
  • Non, ils les trouveront là aussi.
  • Moi, je dis, au fond de la mer !
  • Ils sauront aussi aller jusqu’aux profondeurs de la mer.

Un long silence s’installa.
Enfin, un des Dieux reprit :

  • Si nous les cachons à l’intérieur des hommes, je pense qu’ils n’auront jamais l’idée de les chercher là.

C’est ce qu’ils firent.


Moi, mon âme et conscience


Prêtez attention aux paroles de “Moi, mon âme et conscience” de Paris Combo…
c’est assez drôle je trouve… surtout à un moment où on essaie de reconnecter avec soi.

Car si le monde ressemble à c’qu’on a dans la tête.
C’est pas long à comprendre, pourquoi tout ça n’tourne pas très net !

Les paroles complètes ici :  (suite…)