bien-être


[Extrait] Les dieux voyagent…, L.Gounelle
Changer le monde

Dans “les dieux voyagent toujours incognito“, Laurent Gounelle nous invite à suivre les progrès d’Alan sur le chemin d’une vie meilleure. Alors qu’il se trouve au bord du précipice, prêt à sauter, un inconnu lui propose un pacte. A partir d’aujourd’hui Alan devra suivre chacun des exercices de vie qu’il lui propose… jusqu’à le rendre libre et heureux.

–  Nous vivons au milieu des cyniques, et il faut être cynique soi-même pour espérer s’en sortir.

– Je refuse de me soumettre à cette vision. Sinon, plus rien ne vaut la peine. Je ne peux pas accepter l’idée que ma vie se résume à travailler dans le seul but de me payer de quoi manger, me loger et avoir quelques loisirs. Ce serait absolument vide de sens. (…) J’ai besoin d’avoir un travail qui apporte quelque chose aux autres, même s’il ne change pas la face de l’univers. Je veux me coucher le soir en me disant que ma journée a été utile, que j’ai apporté ma pierre à l’édifice. (…) Je suis convaincu que chacun d’entre nous peut changer le monde. A condition de ne pas baisser les bras, ni renoncer à ce qu’il croit juste, ni laisser bafouer ses valeurs. Sinon on est complice de ce qui arrive.

“Nous devons être le changement que nous voulons voir dans le monde” Gandhi.

[Les dieux voyagent toujours incognito, Laurent Gounelle]


[Extrait] Les dieux voyagent…, L.Gounelle
La liberté est en nous

Dans “les dieux voyagent toujours incognito“, Laurent Gounelle nous invite à suivre les progrès d’Alan sur le chemin d’une vie meilleure. Alors qu’il se trouve au bord du précipice, prêt à sauter, un inconnu lui propose un pacte. A partir d’aujourd’hui Alan devra suivre chacun des exercices de vie qu’il lui propose… jusqu’à le rendre libre et heureux.

– Toi, Alan, ce qui te caractérise, c’est précisément… que tu n’es pas libre. (…) Tu éprouves le besoin de plus ou moins te conformer à… ce qui fera qu’ils t’apprécient. Tu crains de décevoir, d’être rejeté. C’est pour ça que tu ne t’autorises pas à exprimer ce que tu ressens, ni à te comporter selon tes souhaits. Tu fais des efforts pour t’adapter aux attentes des autres. (…) Tu crois que sinon, on ne t’aimera pas, on en voudra plus de toi. Alors, sans même t’en rendre compte, tu t’imposes beaucoup de contraintes. Ta vie devient très contraignante et, du coup, tu ne te sens pas libre. Et… tu en veux aux autres. (suite…)


[Extrait] Le Voyage d’Hector, F.Lelord
Le bonheur avec les autres

Dans « Le Voyage d’Hector ~ ou la recherche du bonheur » de François Lelord, Hector est un jeune psychiatre qui ne parvient pas à rendre ses patients heureux. Il décide d’entreprendre un voyage pour comprendre ce qu’est vraiment le bonheur.

La dernière des 5 familles de bonheur est le bonheur avec les autres : l’amitié, l’amour partagé, faire attention au bonheur et malheur des gens, se sentir utile aux autres.

– C’est aussi une sacré cause de malheur ! dit Edouard. Les gens te déçoivent, tes amis peuvent te trahir. Quant aux amours, parfois on peut se faire très mal. ça rappela à Hector que Edouard avait dû être amoureux, mais que ça n’avait pas dû très bien se passer.

– C’est vrai, mais fréquenter les autres et leurs imperfections, ça peut aussi t’entraîner à la sérénité. Et puis, tu peux aussi te sentir utile aux autres sans forcément attendre de la reconnaissance, et en être heureux quand même.

[Le Voyage d’Hector ou La recherche du bonheur, François Lelord]


[Extrait] Le Voyage d’Hector, F.Lelord
La recherche du bonheur

Dans “Le Voyage d’Hector ~ ou la recherche du bonheur” de François Lelord, Hector est un jeune psychiatre qui ne parvient pas à rendre ses patients heureux. Il décide d’entreprendre un voyage pour comprendre ce qu’est vraiment le bonheur. Grâce à ses aventures et rencontres, Hector dresse la liste des éléments du bonheur…

– Bon, alors déjà, il y a différentes sortes de bonheur. On va dire un peu comme les familles de bonheur. On va dire 5 familles. D’abord, deux familles de bonheur excité et deux familles de bonheur calme.

  • Bonheur excité (1) : la joie, faire la fête, partir en voyage, se retrouver au lit avec la femme qu’on désire, une bonne bouteille (l’alcool fait sourire le cerveau)…
  • Bonheur excité (2) : travailler à quelque chose qu’on aime, vouloir atteindre un but.
  • Bonheur calme (1) : se sentir content tout simplement et juste vouloir que ça dure. ça, c’est quand tu fais des comparaisons et que tu te trouves heureux comme ça, en te comparant aux gens que tu connais ou à ton propre passé. Ou en ne te comparant pas du tout !
  • Bonheur calme (2) : c’est une manière de voir les choses. Supporter et garder ta sérénité, quoi qu’il t’arrive. Y compris face à ta propre mort à venir.
  • Bonheur avec les autres : l’amitié, l’amour partagé, faire attention au bonheur et malheur des gens, se sentir utile aux autres.

Le professeur regarda la liste d’Hector…  (suite…)


[Extrait] Le Voyage d’Hector, F.Lelord
Le bonheur c’est une manière de voir les choses

Dans “Le Voyage d’Hector ~ ou la recherche du bonheur” de François Lelord, Hector est un jeune psychiatre qui ne parvient pas à rendre ses patients heureux. Il décide d’entreprendre un voyage pour comprendre ce qu’est vraiment le bonheur. 

Leçon n°7 : L’erreur, c’est de croire que le bonheur est le but
– Je voulais dire un but comme vous savez vous en fixer dans votre civilisation, ce qui vous fait d’ailleurs accomplir tant de choses intéressantes. Mais le bonheur, ce n’est pas du même ordre. Si vous le visez, vous avez beaucoup de chance de le rater. D’ailleurs, comment saurez-vous jamais que vous l’aurez atteint ?

– Vous voulez dire que les meilleures leçon ne sont pas les même pour tout le monde ?
– Est-ce que vous racontez la même chose à tous vos patients ?

Hector dit qu’il ne racontait pas la même chose à tout le monde, mais qu’il y avait quand même certains principes qui revenaient souvent, surtout avec les gens trop tristes ou avec ceux qui avaient trop peur : les aider à faire la différence entre ce qu’il pensaient sur eux et sur les autres et ce qui existait vraiment, parce qu’ils avaient tendance à croire que ce qu’ils pensaient était la réalité, alors que ce n’était pas toujours le cas.

Leçon n°20 : Le bonheur c’est une manière de voir les choses  (suite…)


[Extrait] Le Voyage d’Hector, F.Lelord
L’alcool et le bonheur

Dans “Le Voyage d’Hector ~ ou la recherche du bonheur” de François Lelord, Hector est un jeune psychiatre qui ne parvient pas à rendre ses patients heureux. Il décide d’entreprendre un voyage pour comprendre ce qu’est vraiment le bonheur.

Alors apparurent trois images de cerveaux de Japonais. 

Cette fois-ci, les cerveaux, ils étaient tout brillants (…) surtout dans la zone du bonheur. Les Japonais, ils avaient dû être très heureux à ce moment-là.

– “Ce sont des images prises quelques minutes après qu’ils ont bu un grand verre de saké.” Alors ça, pensait Hector, ça montrait pourquoi on se sentait si bien quand on buvait.

– “Mais regardez la suite. Ce sont des images prises trois heures plus tard.” Alors là, les cerveaux des Japonais étaient devenus beaucoup plus bleus qu’au départ. ça ressemblait même aux images de la tristesse. Les Japonais ne devaient plus être très en forme à ce moment-là. En voyant ces images, on avait presque envie de leur faire reboire du saké pour leur réactiver le cerveau (il y a des gens qui n’ont pas eu besoin de ce genre d’expérience et qui ont compris le truc tout seuls).

(suite…)


[Extrait] Le Voyage d’Hector, F.Lelord
Du sourire des 20 ans au bonheur des 40

Dans « Le Voyage d’Hector ~ ou la recherche du bonheur » de François Lelord, Hector est un jeune psychiatre qui ne parvient pas à rendre ses patients heureux. Il décide d’entreprendre un voyage pour comprendre ce qu’est vraiment le bonheur. 

Et là, il raconta une histoire assez compliquée : il voulait savoir si le bonheur, ça dépendait surtout de si tout se passait bien dans votre vie, ou si ça dépendait surtout de votre caractère, si vous étiez déjà né comme pour être heureux. Pour ça, il étudiait depuis des années des jeunes filles (aujourd’hui, elles étaient devenues des dames) en leur demandant tous les ans, avec plein de questionnaires, si elles étaient heureuses, ce qui leur était arrivé dans l’année, mais aussi en examinant leur portrait quand elles avaient vingt ans.

– Et bien vous savez quoi ? dit le professeur. Il y a un rapport entre la sincérité et l’intensité du sourire à vingt ans et le bonheur à quarante !

[Le Voyage d’Hector ou La recherche du bonheur, François Lelord]