histoire


[Citation] Ayez le courage de suivre votre cœur 1

Steve JobsSuite au reportage sur Steve Jobs, ce soir sur France Ô, j’ai eu envie de publier des extraits de son discours de 2005 à Standford. Il résume assez bien sa vision de la vie.

On ne peut prévoir l’incidence qu’auront certains événements dans le futur ; c’est après coup seulement qu’apparaissent les liens. Vous pouvez seulement espérer qu’ils joueront un rôle dans votre avenir. L’essentiel est de croire en quelque chose – votre destin, votre vie, votre karma, peu importe. (suite…)


[Extrait] Les dieux voyagent…, L.Gounelle
Lutter contre ses peurs

Dans “les dieux voyagent toujours incognito“, Laurent Gounelle nous invite à suivre les progrès d’Alan sur le chemin d’une vie meilleure. Alors qu’il se trouve au bord du précipice, prêt à sauter, un inconnu lui propose un pacte. A partir d’aujourd’hui Alan devra suivre chacun des exercices de vie qu’il lui propose… jusqu’à le rendre libre et heureux.

– Quand dans la vie, on s’arrange pour se tenir éloigné de tout ce qui nous fait peur, on s’empêche de découvrir que la plupart de nos peurs sont des créations de notre esprit. La seule façon de savoir si ce que l’on croit est erroné ou pas, c’est d’aller le vérifier sur le terrain ! C’est donc parfois utile de se prendre par la main, quitte à se faire en effet un peu violence, pour expérimenter ce qui nous angoisse afin de se donner une chance de réaliser qu’on s’est peut-être trompé.

[Les dieux voyagent toujours incognito, Laurent Gounelle]


[Extrait] Les dieux voyagent…, L.Gounelle
Changer le monde

Dans “les dieux voyagent toujours incognito“, Laurent Gounelle nous invite à suivre les progrès d’Alan sur le chemin d’une vie meilleure. Alors qu’il se trouve au bord du précipice, prêt à sauter, un inconnu lui propose un pacte. A partir d’aujourd’hui Alan devra suivre chacun des exercices de vie qu’il lui propose… jusqu’à le rendre libre et heureux.

–  Nous vivons au milieu des cyniques, et il faut être cynique soi-même pour espérer s’en sortir.

– Je refuse de me soumettre à cette vision. Sinon, plus rien ne vaut la peine. Je ne peux pas accepter l’idée que ma vie se résume à travailler dans le seul but de me payer de quoi manger, me loger et avoir quelques loisirs. Ce serait absolument vide de sens. (…) J’ai besoin d’avoir un travail qui apporte quelque chose aux autres, même s’il ne change pas la face de l’univers. Je veux me coucher le soir en me disant que ma journée a été utile, que j’ai apporté ma pierre à l’édifice. (…) Je suis convaincu que chacun d’entre nous peut changer le monde. A condition de ne pas baisser les bras, ni renoncer à ce qu’il croit juste, ni laisser bafouer ses valeurs. Sinon on est complice de ce qui arrive.

“Nous devons être le changement que nous voulons voir dans le monde” Gandhi.

[Les dieux voyagent toujours incognito, Laurent Gounelle]


[Extrait] Les dieux voyagent…, L.Gounelle
La liberté est en nous

Dans “les dieux voyagent toujours incognito“, Laurent Gounelle nous invite à suivre les progrès d’Alan sur le chemin d’une vie meilleure. Alors qu’il se trouve au bord du précipice, prêt à sauter, un inconnu lui propose un pacte. A partir d’aujourd’hui Alan devra suivre chacun des exercices de vie qu’il lui propose… jusqu’à le rendre libre et heureux.

– Toi, Alan, ce qui te caractérise, c’est précisément… que tu n’es pas libre. (…) Tu éprouves le besoin de plus ou moins te conformer à… ce qui fera qu’ils t’apprécient. Tu crains de décevoir, d’être rejeté. C’est pour ça que tu ne t’autorises pas à exprimer ce que tu ressens, ni à te comporter selon tes souhaits. Tu fais des efforts pour t’adapter aux attentes des autres. (…) Tu crois que sinon, on ne t’aimera pas, on en voudra plus de toi. Alors, sans même t’en rendre compte, tu t’imposes beaucoup de contraintes. Ta vie devient très contraignante et, du coup, tu ne te sens pas libre. Et… tu en veux aux autres. (suite…)


Toute petite au pays de Longchamp

Ce que j’aime avec les marques de luxe et de parfum, c’est qu’elles allient admirablement art et promotion. Leurs publicités nous transportent dans un univers féerique, et s’écrivent à la manière d’un conte. Un exemple de plus, du côté de Longchamp via le spot « Little Big Bag », réalisé par Romain Chassaing.

[Source : Fubiz]


Critique : “Barbe Bleue”, A.Nothomb

Cette année je participe à un concours de critique littéraire. Voici la première que j’ai rédigée.


Dans cet opus, Amélie revisite le conte de Barbe Bleue à sa manière, diabolique et fantasque.

Bien qu’elle s’en inspire assez librement, l’intrigue est respectée : des femmes mystérieusement disparues, un homme très riche, une jeune fille qui accepte de partager son toit, un interdit qui donne envie d’être transgressé, et un dénouement honoré. L’histoire est surtout modernisée : époque contemporaine, jeune femme indépendante, capable de se défendre seule, et tortionnaire raffiné. On regrette cependant que les éléments fondateurs de la notoriété du conte aient disparu. La célèbre “Soeur Anne” manque à l’appel, remplacée par une amie, et le soleil ne poudroie pas – pas plus que l’herbe ne verdoie. Il est vrai qu’à Paris dans le VIIe, le cadre ne s’y prête pas… (suite…)


[Extrait] Hygiène de l’assasin, A.Nothomb
La lecture qui vous change

Il y a tant de gens qui poussent la sophistication jusqu’à lire sans lire. Comme des hommes-grenouilles, ils traversent les livres sans prendre une goutte d’eau. (…) Ce sont les lecteurs-grenouilles. Ils forment l’immense majorité des lecteurs humains, et pourtant je n’ai découvert leur existence que très tard. Je suis d’une telle naïveté. Je pensais que tout le monde lisait comme moi ; moi, je lis comme je mange : ça ne signifie pas seulement que j’en ai besoin, ça signifie surtout que ça entre dans mes composantes et que ça les modifie.

On n’est pas le même selon qu’on a mangé du boudin ou du caviar ; on n’est pas le même non plus selon qu’on vient de lire du Kant (Dieu m’en préserve) ou du Queneau.

(suite…)