ecologie


[Extrait] Le jour où j’ai appris à vivre, L.Gounelle – Vers un monde meilleur

Le monde est la résultante de nos actes individuels. Se changer soi-même est la seule voie vers un monde meilleur. Un monde meilleur où il fait bon vivre.
Extrait de « Le jour où j’ai appris à vivre » de Laurent Gounelle :

Cherche à l’intérieur. Difficile de regarder à l’intérieur quand on craint d’y rencontrer l’angoisse, justement.

La télé accrochée au mur diffusait des images saisissantes de forêt filmée en hélicoptère. “La forêt amazonienne est détruite au rythme effroyable de mille six cents hectares par jour, soit l’équivalent de quinze cents terrains de football.” L’image bascula sur celle d’un vieil Indien. Son visage affichait une certaine sérénité, bien qu’empreint de tristesse. Une sorte de résignation calme.

Jonathan soupira longuement. Comment peut-on être heureux quand le monde va mal ? Comment trouver en soi la force de s’en sortir quand le mal progresse sur Terre ? La lutte est vaine…

La voix du vieil Indien était calme, posée. Malgré la gravité de ses propos, on ne percevait aucune animosité, aucune haine. “Quand vous aurez abattu le dernier arbre, quand vous aurez pêché le dernier poisson, vous découvrirez que l’argent ne se mange pas.”

(…)

– Je vous ai vu à la télé. Vos propos m’ont touché. C’est terrible que cette forêt soit détruite, tout ça pour de l’argent. Les autres pays devraient faire pression sur les Brésiliens pour qu’ils cessent de faire ça.

– Vous pouvez dire ça… les Brésiliens abattent la forêt pour la transformer en champs de soja et nourrir les bœufs. Vous savez à qui sont destinés ces bœufs ?

Il fallu quelques secondes à Jonathan pour comprendre. Et alors il se figea. Il avala sa salive. Sa main qui tenait le hamburger devint moite. Il se sentit rougir. Il resta ainsi, quelques instants qui durèrent une éternité, face à cet homme digne et paradoxalement compatissant qui posait sur lui des yeux pleins de bonté.

[Source : « Le jour où j’ai appris à vivre » de Laurent Gounelle]


Pub choc d’Amnesty International


Attention, publicité déconseillée aux personnes sensibles

Amnesty International France vient de sortir une nouvelle campagne. Dans un spot choc, où la réalité est montrée sans détour, des personnes victimes d’actes barbares sont cachées par des billets. Mais l’argent ne pourra pas cacher ces horreurs aux yeux des défenseurs des droits de l’Homme d’Amnesty International. L’ONG rappelle ainsi qu’elle s’engage au profit de ses valeurs et de l’humain et non au profit de l’argent.

[Source : blogopub]


Une voiture invisible

Pour promouvoir sa voiture écologique, Mercedes-Benz a fait circuler une “voiture transparente” en Allemagne. Imaginée par l’agence Jung von Matt, ce véhicule recouvert de LED diffuse les images de son environnement (captées par un appareil réflex numérique), pour son fondre dans le paysage.

[Via : streetplanneur]


[Ecolo] Environnement, les bons gestes

Nous nous sommes engagés à réduire notre émission de CO2 de 20% dans les années à venir. A nous aussi de respecter les bons gestes. Considérons désormais que nous sommes des cosmonautes dans un vaisseau spatial – chaque goutte d’eau compte – et non plus des cowboys qui investissent le champ voisin une fois qu’ils ont fini de piller le leur.

Voici quelques points à respecter pour améliorer son bilan carbone : (suite…)


Orang-Outans en cage

http://www.paper-plane.fr/wp-content/uploads/2010/05/orang-outan-jakarta-FNPF-YR-ambient-marketing-street-guerilla-monkey-600x387.jpgEn captivité, les orang-outans vivent dans des cages plus petites que celles-ci

Des centaines d’orang-outans des forêts de Bornéo et de Sumatra sont capturés pour être vendus morts ou vivants au marché noir. L’association FNPF et son agence de communication Y&R Jakarta ont utilisé les fondations du futur monorail de la capitale indonésienne pour symboliser les cages de ces animaux et sensibiliser les automobilistes au sujet.

[Source : Bestads]