se persuader que le bonheur n’est pas matériel (dans une certaine mesure tout au moins)
savoir profiter du moment présent
savoir s’accrocher au positif
le bonheur dépend surtout de soi (et non de paramètres extérieurs)
il ne sert à rien de vouloir révolutionner le monde mais il faut plutôt se concentrer sur notre entourage
il est plus facile d’être heureux quand on n’est pas isolé(e) et qu’on fait partie d’un « groupe » de gens dont on partage les idées et les centres d’intérêt
reconnaître que la souffrance peut être addictive : elle devient un mode de communication et une drogue (porter sa souffrance en bandoulière ne nous rend pas plus intéressant aux yeux des autres, au contraire…)
le bonheur est un état d’esprit et non un but à atteindre (voir le verre moitié plein et pas moitié vide)