Développement


3 Règles des cascadeurs transposables

1. Une préparation rigoureuse est primordiale pour évaluer et minimiser les difficultés et les risques et se doter des ressources nécessaires. Une cascade ne s’improvise pas, elle doit être réglée précisément en mettant en place les mesures de sécurité appropriées : choix, installation et vérification du matériel (airbag ou cartons pour les chutes, armes factices pour les combats…), préparation physique, planification des étapes, répétitions des enchaînements jusqu’à une parfaite précision, maquette pour tester et communiquer sur la cascade.

2. Une amélioration continue : ces professionnels se perfectionnent et développent constamment leurs compétences pour réaliser des performances de plus en plus complexes en toute sécurité. Cet entraînement leur donne une plus grande maîtrise d’eux-mêmes, la confiance et l’apaisement nécessaire pour prendre des décisions éclairées, relever les défis et rassurer toute l’équipe.

3. Des qualités essentielles à l’action : la responsabilité et le respect des règles (pour garantir la sécurité), l’écoute et la concentration (un instant de distraction peut avoir des conséquences grave), une communication précise et cohérente (pour se coordonner avec l’équipe et éviter les erreurs), l’adaptabilité et la résistance au stress (pour s’ajuster aux conditions changeantes et aux imprévus).

NB : Il existe 3 catégories de cascades : physiques (combat à mains nues ou armé, chute, torche humaine), mécaniques (freinage, dérapage automobile, course en moto ou en voiture), équestres (duel, traînage, chute…).


7 Règles d’improvisation transposables

Les règles d’or de l’agilité, de l’innovation et de l’intelligence collective !

1. L’ECOUTE. C’est être attentif à chacun et à la situation. C’est mémoriser toutes les propositions et y faire écho.

2. OUI ET. C’est accepter la situation, les règles, les procédés et intégrer, construire à partir de la proposition de l’autre.

3. L’ADAPTABILITÉ. C’est être dans l’instant présent, en capacité d’accueillir ce qui se joue sans anticiper. C’est rebondir face aux imprévus.

4. LE COLLECTIF. C’est accompagner et soutenir son équipe (ne laisser personne en difficulté) et savoir s’effacer au profit de l’histoire commune (faire preuve d’humilité).

5. LA CONSTRUCTION. C’est jouer ensemble pour faire avancer l’histoire, le projet. C’est être précis et simple, concret dans ses propositions, pour que chacun puisse s’y associer : où et quand ? qui ? pour quoi ?

6. L’AUDACE. C’est oser expérimenter, relever des défis. C’est être sans-jugement – assumer la spontanéité, le ridicule – pour laisser place à la créativité et … innover !

7. L’ENGAGEMENT. C’est vivre pleinement l’aventure. Se passionner et s’amuser… pour rayonner et être heureux en action !


3 qualités pour résoudre un problème

Problem Solver

“On ne peut pas résoudre un problème avec le même niveau de pensée que celle qui l’a crée.” Albert Einstein.

1- Pensée analytique : – décomposer les problèmes complexes, comprendre les relations entre les parties – examiner de manière critique les hypothèses présentées (véracité des faits et validité des arguments) – raisonner de façon logique pour la résolution

2- Empathie / Communication : – comprendre la perspective de l’autre – gagner la confiance et la coopération – stimuler la créativité en prenant en compte toutes les idées des parties impliquées

3- Créativité : – briser les schémas de pensée traditionnels – envisager de nouvelles opportunités – oser faire différemment et généreusement


Pour rayonner, révèle ton monstre !

Quelle horreur vas-tu nous dévoiler ?

Le “freak factor” est un concept imaginé par David Rendall, qui nous incite à faire de notre “bizarrerie” un avantage concurrentiel.

Par exemple, mon freak factor est ma non-conformité. Mon côté provocateur constructif bouscule la norme établie et encourage l’ouverture d’esprit. Je suscite débat, réflexion, à l’encontre de l’opinion dominante, des idées subies .J’incite à remettre en question les croyances et les actions, pour vivre de nouveaux récits.

Et vous, quel est votre monstre ?


A-t-on le droit d’être fier de soi ?

A-t-on l’espace de profiter pleinement de la fierté de nos réalisations ?

Ne rabaisse-t-on pas souvent celui qui exprime son enthousiasme suite à une réussite “ah ah j’ai réussi, je suis intelligent” … “ça va les chevilles qui enflent ?”

Alors, attachée au sentiment de fierté… la honte. La honte de manquer d’humilité (la conscience de ses insuffisances), la honte de la vanité (l’expression de la satisfaction de soi) et la peur de l’humiliation si l’échec se présente dans la foulée.

Mais pourquoi ? C’est si agréable de se sentir puissant, content, fier, d’être intelligent, d’avoir réussi !

Pourquoi se laisser rabaisser ?