Archives du mois : février 2010


La carte de France mensuelle du tourisme


JANVIER

FÉVRIER

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JUIN

JUILLET

AOUT

SEPTEMBRE

OCTOBRE

NOVEMBRE

DÉCEMBRE

75 millions de touristes chaque année en France :
voici les cartes déformées par département visitées.

  1. Janvier.   Savoie, Paris, Haute-Savoie.
  2. Février.  Savoie, Haute-Savoie, Paris.
  3. Mars. Savoie, Paris, Haute-Savoie.
  4. Avril.  Paris, Var, Savoie.
  5. Mai. Paris, Var, Seine-et-Marne.
  6. Juin. Var, Paris, Alpes-Maritimes.
  7. Juillet. Var, Hérault, Charente-Maritime.
  8. Août. Var, Hérault, Charente-Maritime.
  9. Septembre. Var, Paris, Alpes-Maritimes.
  10. Octobre. Paris, Var, Alpes-Maritimes.
  11. Novembre.  Paris, Seine-et-Marne, Var.
  12. Décembre. Paris, Savoie, Seine-et-Marne.

[Source : JDN]


Consommateurs et produits de consommation

Une étude du profil des consommateurs de certains produits révèle que ces derniers ne sont pas toujours utilisés par ceux auxquels ils étaient destinés à l’origine. Exemples.

1. des lingettes bébé utilisées par des femmes à la peau sensible pour se démaquiller
2. des rasoirs pour homme pour épiler les femmes ( Gillette a depuis, lancé “Vénus”)
3. des boissons chocolatées pour enfants, dégustées par des adultes (cf. Nesquick)
4. des biscuits petit-déjeuner consommés au goûter (cf. Lu)
5. des yaourts à boire “nomade”, bus à domicile pour le dessert du dîner (cf. Yop)
6 . les biscuits pour enfants, mangés par une majorité d’adultes de plus de 35 ans (1/4 en ont même plus de 50) (cf. Petit écolier de Lu)
7. des yaourts allégés achetés pour les 6-10 ans (par erreur ou par économie)
8. les crèmes de soins pour femmes adoptées par les hommes
9. les céréales pour enfants appréciées par les plus de 35 ans
10. des déodorants pour femmes achetés par des hommes à la peau sensible (30%),
des déodorants pour homme dont le parfums plaît aux femmes (26%)

[A lire sur : JDN]


Manager la génération Y

« Le manager de demain devra savoir attirer les jeunes talents dans son équipe
et faire en sorte qu’ils restent. La guerre des talents ne fait que commencer.
»

Actuellement, la crise masque la problématique du remplacement des générations par le chômage des jeunes mais ce n’est que ponctuel. A cet impératif démographique s’ajoutent les spécificités d’une génération dite Y qui correspond mal à l’entreprise telle qu’elle est organisée aujourd’hui. On la dit “zappeuse”, peu fidèle envers un employeur, qu’elle peut quitter dès qu’elle estime ne plus y trouver son compte, et en même temps exigeante en terme d’intérêt des missions.

« Hier, on cherchait à intégrer les jeunes,
à les formater pour qu’ils entrent dans le moule de l’organisation.
Aujourd’hui, l’enjeu est inversé et c’est à l’entreprise d’être évolutive.
»

Pour séduire ces talents, le manager ne peut plus compter sur les programmes concoctés par les RH pour séduire les jeunes diplômés et insuffler une culture d’entreprise. C’est à lui d’inventer au quotidien des solutions pour permettre à ces recrues de se développer individuellement et de continuer d’apprendre.  Cela passe aussi par une refonte du système de reconnaissance. On ne récompense pas ceux qui atteignent des résultats quantitatifs mais ceux qui ont su travailler ensemble. Car le rôle premier du manager est de faire en sorte que le collectif soit le meilleur possible.

« Pour préserver ses collaborateurs,
le manager doit récompenser non pas les résultats mais la performance
»

Une telle démarche présente également des bienfaits en matière de régulation de la pression au sein de l’équipe. Le futur n’est pas contrôlable et c’est ce qui fait qu’un management par le résultat crée de la pression. En revanche, le processus de travail, lui, est dans le présent et entre les mains des collaborateurs.

Entre le manager et son jeune collaborateur doit s’établir un rapport de confiance réciproque. Cela passe avant tout par le scrupuleux respect des promesses d’embauche. La réactivité est la clé de la relation : des missions à trois ans ne mobiliseront pas le jeune collaborateur à qui il faut du court terme. Dès le premier jour, le manager devra l’impliquer, l’écouter et le laisser être force de propositions. Ainsi, il gagnera sa confiance.

[Source – JDN : Génération Y | Dossier]
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