La prise de conscience est la première étape du changement. En constatant nos comportements, nous sommes capables de cerner les éléments à changer pour évoluer.
Pour autant, le changement ne doit pas être une contrainte, mais une envie, guidée par la motivation de tenter quelque chose de différent, de découvrir une autre façon de fonctionner plus positive. Ainsi, l’important n’est pas d’atteindre un résultat idéal, une “perfection” qui nous enferme dans une dynamique contraignante donc négative, l’important c’est de faire le premier pas, d’essayer et d’agir pour aller tout doucement avec un équilibre – pour nous et le monde – qui nous convient.
Gardons à l’esprit que nous sommes des êtres faillibles et qu’à ce titre nous continuerons de faire des erreurs. Alors travaillons surtout nos intentions et nos moyens : qu’ils soient, autant que possible, positifs, bienveillants et en cohérence avec notre humanité profonde.
Ainsi, n’oublions pas que, même s’il est plus facile de s’inspirer de quelqu’un d’exemplaire, les bonnes idées sont souvent énoncées par des personnes qui ne sont pas irréprochables (puisque humaines). Donc ne refusons plus les idées sous prétexte que le porteur n’est pas parfait ! Si l’idée nous dérange, ce n’est pas la faute du messager.
Vous cherchez comment vous engager ? Les sujets où les actions individuelles sont possibles sont nombreux : réduction des déchets, de la consommation intensive, de la consommation de produits animaliers, de la violence ordinaire (agressivité, fuite, manipulation)…