Quid du web 3.0 ?


Pour faire simple, le web 2.0 pourrait se résumer aux nouveaux usages liés aux outils communautaires (forum, blog, Facebook, Twitter…) – il s’agit d’un web qui relie les personnes ; alors que le web 3.0 serait l’étape du World Wide Web, qui  concourrait à un web universel, mobile et accessible.

Une solution web 3.0 doit être indépendante de tout type de support et de matériel, et respecter les standards du W3C.

Face à l’explosion de la diversité des supports (mobile, smartphone, tablette, browser web, TV…), se pose un vrai problème dans la définition des interfaces : doit-on en créer autant que de supports ou inventer un objet polymorphe à partir d’une source de contenu unique ?

Voici quelques pistes de réflexion sur le responsive web-design :

  • la distinction entre le fond et la forme, cf. les Medias Queries CSS3
  • un contenu adaptable et flexible
  • une structure élastique, conçue avec des grilles en pourcentage
  • la génération dynamique de visuels (image ou vidéo), pour ajuster automatiquement leur taille et leur format (portrait ou paysage)
  • un encodage vidéo adapté (un standard commence à émerger : le WebM)
  • des polices en pourcentage ou em
  • une gestion précise de l’information (allègement du texte hiérarchisé selon les supports)
  • la prise en compte des divers types d’interactivité (touch vs click)
  • un langage universel : le html. (De nouvelles perspectives d’interactivité apparaissent avec l’essor du html5. Couplé au javascript, il devient capable de concurrencé flash tout en restant universel. La publication de ses spécifications finales est prévue pour 2014.)
  • de bonnes pratiques dans le balisage, hiérarchisé, pour un bon référencement

Le web 3.0 doit encore être précisé, mais il tend à dicter l’usage de bonnes pratiques de développement qui rendront l’accès à l’information plus universelle.

[Source : ultranoir]

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