Créativité


La vision épique du leader éclairé

Au travers d’un exemple de vision inspirante qui a soutenu des dizaines de milliers d’individus, dans des douzaines d’organisations, pendant près de 10 ans… je vous livre les 3 clefs de Ré d’une vision épique : un Rêve qui devient Réel grâce au Réseau.

1- Le Rêve.
Soignez votre storytelling pour inciter à l’action.

Insufflez votre IDÉAL à votre audience, au travers d’une HISTOIRE, riche en ÉMOTIONS, à laquelle s’identifier. Faites voyager de l’URGENCE des ENJEUX à un HEUREUX DÉNOUEMENT, en invoquant des VALEURS fortes, mobilisatrices.

2- Le Réel.
Rendez le rêve réalisable.

Affûtez votre objectif : SIMPLE et CONCRET. Trouvez l’équilibre entre AUDACE INATTENDUE et RÉALISME CRÉDIBLE. Déterminez un plan d’action (objectifs, étapes, moyens, ressources, livrables) et révisez-le régulièrement pour l’adapter aux défis rencontrés.

3- Le Réseau.
Mobilisez un réseau humain engagé, pour que le rêve devienne réalité.

Misez sur la co-construction et une communication régulière pour garantir une vision partagée par tous, maintenir un sentiment d’appartenance et un engagement autour du projet dans la durée.

A NOUS !
Pour une vision épique, œuvrons pour changer le monde… positivement !

Quelle vision épique proposer aujourd’hui pour nous mobiliser tous ensemble face aux enjeux climatiques et sociétaux actuels ?

Dans la vidéo, je vous propose un exercice pour visualiser votre idéal, aligner vos actions et vos convictions, renforcer votre motivation et préparer le terrain à la réflexion stratégique. A vous de jouer !


3 qualités pour résoudre un problème

Problem Solver

“On ne peut pas résoudre un problème avec le même niveau de pensée que celle qui l’a crée.” Albert Einstein.

1- Pensée analytique : – décomposer les problèmes complexes, comprendre les relations entre les parties – examiner de manière critique les hypothèses présentées (véracité des faits et validité des arguments) – raisonner de façon logique pour la résolution

2- Empathie / Communication : – comprendre la perspective de l’autre – gagner la confiance et la coopération – stimuler la créativité en prenant en compte toutes les idées des parties impliquées

3- Créativité : – briser les schémas de pensée traditionnels – envisager de nouvelles opportunités – oser faire différemment et généreusement


Soul, Disney-Pixar
Apprécier la vie comme l’océan

Voici une fable, la morale de “Soul”, le Disney-Pixar de Noël 2020.

Soul - film 2020 - AlloCiné

Tu connais l’histoire du petit poisson ?
Il va trouver un poisson plus âgé et il lui dit :
“Je cherche un endroit qu’on appelle l’océan.”
“L’océan ?”, dit le vieux poisson. “Tu nages dedans.”
“ça ?”, lui dit le jeune poisson. “ça, ce n’est que de l’eau. Moi, ce que je recherche, c’est l’océan !”


Je rêve…

Je rêve d’une société,
florissante, accomplie,
qui relève les défis
avec agilité.

Je rêve d’un nouveau clan,
solidaire, éclairé,
qui sache harmoniser
brillamment ses talents.

Je rêve d’êtres, de gens,
épanouis, authentiques,
qui, libres, communiquent
leur potentiel pleinement.

Je rêve de concret,
d’émotions, de génie,
de libérer la vie
dans notre société.

[Cécile Clavier]


[Extrait] Vous voulez rire, Monsieur Feynman ! de Richard P.Feynman
Un peu d’humour !

Dans son livre « Vous voulez rire, Monsieur Feynman !« , Richard P.Feynman, Prix Nobel de physique, raconte un ensemble d’anecdotes amusantes qui ont ponctué sa vie. L’extrait suivant démontre son impertinence, son humour et son intégrité. (Je suis fan)

“Du moment que je me suis dit que j’aimerais aller à Caltech, Cornell et Caltech ont commencé à faire de la surenchère ; si je faisais mine de me décider pour caltech, Cornell me faisait des offres plus avantageuses et si je semblais vouloir rester à Cornell, Caltech renchérissait. (…)

Quand on est jeune, on se fait beaucoup de souci : est-ce que je fais bien d’aller là ? Que va dire ma mère ? etc. On se fait du souci, on essaie de prendre une décision, et puis tout est chamboulé pour une raison ou pour un autre. Je trouve qu’il vaut mieux prendre une décision une fois pour toutes et s’y tenir, quoi qu’il arrive. C’est ce que j’ai fait une fois, alors que j’étais au MIT. J’ai décidé une fois pour toutes que ce serait Caltech. (…)

On a pourtant essayé, une fois, de me faire revenir sur ma décision. Ils ont commencé  par me faire miroiter un tas d’avantages relatifs au poste qu’on m’offrait (…) Je ne leur ai pas demandé combien ils me paieraient mais il était sous-entendu dans toutes la conversation que si je leur demandais ils se feraient un plaisir de me le dire. N’y tenant plus, ils ont fini par me demander si je voulais savoir quel était le salaire proposé. “Non, ce n’est pas la peine, ai-je dit. J’ai décidé de ne pas quitter Caltech. Mais si ma femme May Lou, qui est dans la pièce à côté, entend combien vous me proposez, nous allons nous disputer. De toute façon, j’ai décidé de ne plus jamais prendre de décision. Je reste à Caltech, quoi qu’il arrive.” Ils n’ont donc pas pu me dire combien ils étaient prêts à me payer.

Un mois plus tard (…) j’ai reçu une lettre où dès la première ligne, on m’indiquait le montant du salaire. Il s’agissait d’une somme astronomique. (…)

Je leur ai alors répondu par retour du courrier : “Ayant lu quel était le montant du salaire que vous me proposez, j’ai décidé que je ne devais pas accepter votre offre. La raison de mon refus est simple : un tel salaire me permettrait de faire ce dont j’ai toujours rêvé : avoir une maîtresse, l’installer dans un appartement de luxe, la couvrir de bijoux… Avec le salaire que vous me proposez j’aurais la possibilité de réaliser ce rêve. Mais je sais ce qui m’arriverait alors : je deviendrais inquiet, je serais jaloux, je lui ferais des scènes, etc. En un mot, je serais malheureux ; je ne pourrais plus travailler ; je serai foutu. Comme ce dont j’ai toujours rêvé n’est pas bon pour moi, j’ai décidé de ne pas accepter votre proposition.”

(suite…)