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- s’accepter tel(le) qu’on est
- connaître ses limites et ses points forts
- se persuader que le bonheur n’est pas matériel (dans une certaine mesure tout au moins)
- savoir profiter du moment présent
- savoir s’accrocher au positif
- le bonheur dépend surtout de soi (et non de paramètres extérieurs)
- il ne sert à rien de vouloir révolutionner le monde mais il faut plutôt se concentrer sur notre entourage
- il est plus facile d’être heureux quand on n’est pas isolé(e) et qu’on fait partie d’un « groupe » de gens dont on partage les idées et les centres d’intérêt
- reconnaître que la souffrance peut être addictive : elle devient un mode de communication et une drogue (porter sa souffrance en bandoulière ne nous rend pas plus intéressant aux yeux des autres, au contraire…)
- le bonheur est un état d’esprit et non un but à atteindre (voir le verre moitié plein et pas moitié vide)